Programme des ateliers

ATELIERS DU 19 JUIN

 

  • 10h30-12h30 : Atelier 1

Travaux en, avec et sur la création : Ajustements éthiques & bricolages méthodologiques (RIRRa21-EMMA)

Responsable : Marie Joqueviel-Bourjea, Pr. Littérature française, RIRRa21

Cet atelier se structure autour de 4 interventions de doctorantes et 1 intervention d’enseignante-chercheuse, appelées à nourrir la discussion à suivre.
Que les enjeux d’une thèse en passent explicitement par un travail créatif redevable d’une pratique artistique (recherche en création, recherche-création), que le corpus, par ses formes et sa contemporanéité, invitant à une pratique incarnée, conduise la chercheuse/le chercheur à renouveler les formes de l’écriture académique par une implication créative, que le corpus, ‘vivant’, conduise la chercheuse/le chercheur à entrer en dialogue avec l’auteur/l’artiste et à négocier une posture scientifiquement tenable et des méthodologies appropriées, ou encore que les démarches de traduction collaborative pour la scène contemporaine invitent à (re)créer ensemble un nouveau texte, il s’agit toujours d’ajuster un positionnement scientifique (sur le plan méthodologique autant qu’éthique) eu égard à une création vivante. Comment accompagner le plus justement possible un geste créateur (en devenir, contemporain), qu’il s’agisse du sien propre ou de celui des œuvres à l’étude ou sur l’établi de la traduction ?
Nous débattrons de cette question à l’écoute de parcours de thèses – diversement avancés : d’une première année d’inscription à une thèse tout juste soutenue – et d’expériences de traduction relevant de champs disciplinaires différents : arts plastiques, spectacle vivant, littérature française contemporaine, études anglophones et traductologie.

 Intervenants:

  • Chloé Persillet est doctorante en 3ème année et enseignante contractuelle en arts plastiques à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 ; sa thèse, sous la direction de Valérie Arrault et de Patrick Marcolini, s’intitule « Paysage : réflexions picturales et romantiques d’une poïétique en devenir ».

Titre : « Questions de méthode(s) : interroger la pratique réflexive depuis les arts plastiques »

  • Danielle Garrison est doctorante en 2ème année en Art / spécialité « études théâtrales et spectacle vivant » (thèse en recherche-création) sous la direction d’Alix de Morant, cotutelle entre l’Université Concordia (Montréal) et l’UPVM.

Titre de la thèse : « Ethered and Tethered : un espace liminal. Localiser le corps suspendu entre "matérialités" physiques et virtuelles ». Artiste, elle crée des expériences aériennes interactives.
Titre : « Recherche-création tethering »

  • Violaine Sauty a soutenu sa thèse en littérature française contemporaine le 24 novembre 2022 sous la codirection de Marie-Ève Thérenty et Paul Aron.

Titre de la thèse : « Écritures de terrain : (en)quêtes dans la littérature contemporaine non-fictionnelle »
Titre : « Pour une connaissance incarnée du corpus en littérature »

  • Pauline Jankowski est doctorante en 1ère année de thèse en littérature française contemporaine sous la direction de Marie Joqueviel-Bourjea.

Titre : « Quelle méthodologie adopter lorsqu’on travaille sur un projet d’écriture en devenir ? L’exemple du Dernier texte de Santiago H. Amigorena »

  • Marianne Drugeon est maîtresse de conférences en études anglophones à l’UPVM, membre d’EMMA, spécialiste du théâtre britannique contemporain et traductrice.

Titre : « La traduction collaborative pour la scène contemporaine : une œuvre en perpétuelle (re)création »

  •  14h00-15h30 : Atelier 2

Recherche, Création numérique et enjeux écologiques (RIRRa21)


Responsable : Anne-Laure George-Molland, MCF Création numérique/RIRRa21


Pour les démarches artistiques développées ou renouvelées au contact des outils numériques et de l’innovation technologique, aborder frontalement la question des enjeux écologiques revient à scier la branche sur laquelle elles sont assises : au-delà de l’empreinte carbone du numérique (3,5% des émissions mondiales de GES avec une perspective de doublement d’ici 2025), les dégâts irrévocables de l’extraction minière et l’incapacité à recycler efficacement nos déchets électroniques obscurcissent la vision « durable » de ces pratiques. Alors que la prise de conscience de l’urgence écologique amène nombre de chercheur.ses et d’artistes à s’interroger sur leurs activités et la finalité de leur travail, cet atelier propose d’ouvrir un espace de réflexion et de partage entre les participants. Comment chacun s’approprie-t-il ce questionnement ? Comment cette prise de conscience peut-elle venir désorienter ou ré orienter le travail de recherche ? L’atelier sera introduit par un état des lieux touchant à la fois aux enjeux et aux postures écologiques identifiables dans le domaine de la recherche et de la création numérique.

  • 16h00-17h00 : Atelier 3

« Histoire et recherche-création : réflexions autour du projet de Maison-Musée du Président de la République Gaston Doumergue à Aigues-Vives (Gard) » (CRISES)
 
Responsable : Maguelone Nouvel-Kirschleger, docteure en histoire, chercheuse associée à CRISES

 
En 2017-2020 a eu lieu une première collaboration fructueuse entre la Mairie d’Aigues-Vives, propriétaire de la maison de Gaston Doumergue, et l’UPVM3 (chercheurs et étudiants).
Gaston Doumergue a été Président de la République de 1924 à 1931 ; sa carrière politique fut une des plus longues de l’histoire de France et le reflet de toute une époque, et pourtant la recherche scientifique s’est jusqu’à aujourd’hui peu intéressée au personnage, à son rôle et à ses idées. La Mairie d’Aigues-Vives, soucieuse de promouvoir, auprès de la jeunesse comme de la communauté scientifique, le parcours et l’héritage de Gaston Doumergue a souhaité transformer sa maison natale en maison-musée.
Cela passe par la valorisation et la conservation de la maison, labellisée « Maison des illustres » depuis 2013, de ses objets inscrits Monuments Historiques ; un projet d’inventaire de la bibliothèque et des archives de la maison ; un projet de scénographie en vue d’une ouverture au public de la Maison, et la création d’un parcours de visite immersif et multimédia.
L’atelier propose, à partir de cette expérience de recherche-création, de s’interroger sur la place des chercheurs dans un tel projet : dans quelle mesure la création muséale, avec ses objectifs et ses contraintes d’attractivité et de vulgarisation, émancipe-t-elle les chercheurs de leur éthique scientifique ?

 

  • 17h00-18h00 : Atelier 4

 « Ethique et formes sérielles » (RIRRa21)

 Cet atelier vise à aborder l’éthique qu’impliquent l’esthétique et la narration des séries télévisées. De la série formulaire aux séries semi-feuilletonnantes ou feuilletonnantes, chaque type de narration sérielle audiovisuelle ouvre un espace spécifique de négociation éthique et souvent idéologique, par exemple en ce qui concerne le statut des personnages, l’interaction des personnages avec les espaces, l’inscription dans le temps, la relation de la structure narrative à une logique de causalité et/ou de contingence. Par exemple, les séries semi-feuilletonnantes peuvent construire des arcs sériels forts, mais elles semblent maintenir l’importance de l’épisode comme métaphore de l‘être humain dans son individualité et spécificité. Qu’en est-il des autres formes sérielles et de leur rapport à la « vie bonne » ? Quel positionnement éthique peut impliquer telle ou telle variation sur le tout-feuilletonnant du soap ou sur le dispositif énonciatif de la sitcom ? Comment se situer dans une histoire où tout recommence toujours à zéro au niveau de l’épisode ? Qu’est-ce que les tensions entre formes narratives (ex : feuilletonnant contre formulaire) au sein d’une même série disent de son projet éthique ? 

 Intervenants : Pablo Cabeza-Macuso (doctorant Cinéma), Claire Cornillon (MCF Littérature comparée), Sarah Hatchuel (PR Cinéma), David Roche (PR Cinéma)

 

  • 16h00-17h00 : Atelier 5

Mutations de l’oralité : du legs culturel à l’interactivité (IRCL/LHUMAIN)

Responsable : Nathalie Vienne-Guerrin (IRCL)

Sur fonds d’héritage acoustique de la radio et de sa portée sur la culture de l’écoute contemporaine, on se propose de reconsidérer le tournant vocal et sonore du numérique, en particulier en relation à la pratique culturelle du podcast. Croisant la tradition de l’oralité avec les fonctionnements contemporains de la parole différée et technologiquement médiée, la réflexion proposée touche d’une part à l’expression de l’interactivité et des cultures mobiles et, d’autre part, à la perception du sonore comme support du modelage des publics, saisis comme sujets sensibles. D’un double point de vue linguistique et littéraire, l’atelier confrontera plusieurs approches des modes attentionnels, du théâtre radiodiffusé à l’engagement pédagogique, en passant par les nouveaux formats d’écoute.  Sera adoptée une approche pluridisciplinaire impliquant les sciences cognitives, la psychologie comportementale et la pédagogie mais aussi l'art théâtral.


Intervenants:

  • Nathalie Vienne-Guerrin (IRCL) : « Shakespeare à la radio française »

  • Natalia Marcella Osorio-Ruiz (LHUMAIN /Nexus) : « Le numérique sonore : un vecteur pédagogique pour créer, transmettre et partager les savoirs »

  • Abir Wannada (doctorante IRCL) : « La musique comme facilitateur de l’apprentissage et de la mémorisation de différentes langues »

 

  •  17h00-18h00 : Atelier 6

 Le patrimoine linguistique à l’ère numérique : la science et l’éducation ouvertes et citoyennes nécessitent des bases de données accessibles

 Responsable : Vanessa Meireles, MCF, département d’études lusophones, ReSO 

 La proposition de cet atelier se concentre sur les questions et les implications concernant des actions telles que la construction, le stockage, le partage et la conservation d'échantillons de (méta)données linguistiques représentatifs d'une société pluriculturelle. Nous nous intéressons à l'initiative GO FAIR, à ses implications dans la constitution et la gestion de portails numériques pour la (ré)utilisation d'échantillons de données, aux catégories conceptuelles de la linguistique pour l'architecture de l'information impliquée (langues, variétés, genres textuels, modalités expressives, par exemple), entre autres aspects. Nous aborderons les questions liées aux bases de données (telles que, par exemple, l'accessibilité, les licences et l'éthique) et nous présenterons, en particulier, une base de données franco-brésilienne en cours de développement, nommée inCorpora (Portail numérique des états de choses en langues portugaises et romanes en variation et en enseignement) et liée au projet VariaR - Variation dans les langues romanes (de l'Université Paul-Valéry et de l'Université fédérale de Rio de Janeiro) ; et une base de donnée brésilienne, liée au Groupe d'Études sur le Discours & Grammaire/Grupo de Estudos Discurso & Gramática (des Universités fédérales de Rio de Janeiro, Fluminense et Rio Grande do Norte).

 Intervenants:

  • Maria dos Santos Machado Vieira, UFRJ ((Universidade Federal Do Rio De Janeiro, Brasil), CNPq e Faperj ; Maria Luiza Machado Campos, UFRJ ; Vanessa Meireles, ReSo ; Maria Maura Cezario, UFRJ, CNPq e Faperj : « La base de données inCorpora - Projet VariaR » (intervention en français et en anglais)

  • Maria Maura Cezario (UFRJ, CNPq e Faperj) : « The Discurso & Gramática database » (intervention en anglais)

 

 

ATELIERS DU 20 JUIN

 

  • 10h30-12h30 : Atelier 7

 « IA, langage et Art : enjeux poïétiques, esthétiques, éthiques et politiques des programmes d’intelligence artificielle » (RIRRa21, LHUMAIN, LEIRIS)

Responsables: Claire Chatelet (RIRRa21) et Laurent Fauré (LHUMAIN)

Outils de création inédits ou simples assistants créatifs qui standardisent les "contenus", procédés de libération ou d’aliénation, les derniers systèmes d’intelligence artificielle générateurs d’images (Dall.e, Midjourney, Stable Diffusion…) ou de textes (AI ChatGPT, BERT, DAN, Bing…) troublent, inquiètent autant qu’ils enthousiasment, ils obligent dans tous les cas à s’interroger sur les conditions de possibilité non seulement de la créativité artistique, mais aussi de l’auctorialité. Quelles sont, par ailleurs les instances de cette « créativité », sans imagination, ni conscience, ni instance énonciative ? Cet atelier propose, à partir de trois démarches de recherche-création (en études théâtrales, en arts plastiques, en photographie), et de deux réflexions en sociologie de l’art et en linguistique, d’examiner les multiples enjeux que l’intelligence artificielle pose à l’art et aux artistes et, plus généralement, aux sciences humaines.

Intervenants :

  • Patrice Cervellin (MCF en en arts plastiques et jeux vidéo, RIRRa21) :

« Urbi et orbi : Quand l’artifice de l’intelligence logicielle devient l’assistant artistique total et ubiquitaire ».

  • Yucheng Peng (doctorante en troisième année, études théâtrales, RIRRa 21) : « L’éthique des algorithmes : l’attitude équivoque de chatGPT à l’égard d’une scène de crime »

Sujet de la thèse : « Robot et Intelligence Artificielle sur la scène contemporaine ». Directeur de thèse : Didier Plassard).

  • Claire Chatelet (MCF en audiovisuel et nouveaux médias, RIRRa21) : « Ceci n’est pas une photographie. Subjectivité textuelle et machinisme visuel ».

  • Laurent Fauré (MCF en sciences du langage, LHUMAIN) : « Générés et non pas créés : la production des IA, du poids des mots au choc des auto…matismes ».

  • Maxime Piccolo (doctorant en sociologie, LEIRIS) : « IA et liberté intellectuelle : comment concilier technologie et création artistique ? »

Sujet de la thèse : L’éthique à l’ère de l’intelligence artificielle. Directeur de thèse : Thierry Blin). 

 

  • 14h30-15h30 : Atelier 8

‘‘Corps en Mouvement’’ : laboratoire de collaboration(s)  (Epsylon, RIRRa21, ART-Dev, LIFAM, LEIRIS

Avec : Lionel Brunel, Professeur en psychologie (Epsylon) ; Alix de Morant MCF-HDR en esthétiques chorégraphiques (RIRRa21)

Depuis 2018, une équipe pluridisciplinaire composée de chercheurs de l’Université Paul-Valéry (Alix de Morant, arts du spectacle-RIRRa21 ; Lionel Brunel, sciences cognitives-Epsylon ; Virginie Anquetin, sociologie politique-ART-Dev ; Khedidja Mamou, sociologie et architecture-LIFAM) mène conjointement avec la chorégraphe Germana Civera, artiste résidente à l’ENSAM (École Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier), l’atelier-laboratoire « Corps en Mouvement » ; Benjamin Paon, sociologie, LEIRIS.

Au prétexte de l’atelier, nous nous proposons cette fois de mettre l’accent sur la notion de « collaboration ». Entre sciences cognitives et spectacle vivant, cette expérience partagée a permis de poser les bases méthodologiques et conceptuelles communes à un travail de recherche-création, mais aussi d’identifier des questions de recherche partagées entre plusieurs disciplines scientifiques.

Cet atelier précèdera l’Université d’été / Summer School de « L’atelier-Laboratoire Corps en Mouvement » 11 et 12 juillet 2023- Sète

Après quatre ans d’existence, plusieurs articles (Revue À bras le corps) et des communications dans un colloque scientifique (Interactions et Intégrations : acteurs-spectacteurs, en répétition, sur scène et dans la salle, dont le 3ème colloque international « Sciences cognitives et spectacle vivant » en 2019), le temps est venu de réaliser un point d’étape et un temps de partage. Le Laboratoire « Corps en Mouvement » organise les 11 et 12 juillet 2023 sa première université d’été à l’aune de la recherche en création. Il s’agit à la fois de continuer les expérimentations pratiques menées par Germana Civera et de rendre compte des recherches conduites en parallèle par l’équipe encadrante.

Le programme (en cours de construction) se compose notamment des ateliers de pratique dirigés par Germana Civera et de Master classes par les chercheurs associés au projet. Pour cette 1ère édition, les invités sont Roberto Fratini Serafide, dramaturge, théoricien de la danse, professeur d’Histoire et Théorie de la Danse à l’Instituto del Teatro de Barcelona, et Marie Bourjea, professeure en littérature française contemporaine, responsable du programme transversal « Recherche en création » du RIRRa21/UPVM.

Cet espace de rencontre et d’échange est à destination des professionnels de l’art, des chercheurs, des étudiants, etc.

  • 16h00-17h00 : Atelier 9

 Appropriation des langues et pratiques artistiques (IRCL/DIPRALANG)

 Responsables : Florence March (IRCL) et Rose-Marie Volle (DIPRALANG)

 Intervenants:

  •  Adèle Mignard (Doctorante, IRCL) 

« Shakespeare et citoyenneté »

 Créé en 2016 le programme de recherche collaborative « Shakespeare et citoyenneté » propose, par la pratique artistique du théâtre de Shakespeare en anglais ou sa traduction dans la diversité des langues maternelles parlées par les collégiens, de revisiter l’apprentissage de l’anglais et plus largement des langues vivantes étrangères, avant tout considérées comme des vecteurs de culture, de poésie et de citoyenneté. Nous aborderons notamment la manière dont le programme permet de révéler le « ghetto linguistique » dans lequel les élèves peuvent être enfermés (volontairement ou pas) et de s’en défaire ; la question de la démocratisation du « capital culturel » auquel appartient Shakespeare ; et enfin celle de la reconnaissance d’autrui dans la classe et au-delà, dans la société. En effet, dans le cadre du programme l’expérience du comédien rejoint celles de l’interprète et du traducteur et les élèves adoptent tour à tour ces rôles afin de se rendre suffisamment étrangers pour accueillir l’autre. L’expérience artistique recoupe l’expérience linguistique et résonne au-delà du programme et du collège.

  • Loic Lartigau (Doctorant, DIPRALANG)

« Créativité et appropriation en français langue étrangère : le travail du style entre énonciation singulière et exigence de communicabilité »

L'enjeu principal de notre recherche-action est celui des possibilités d'articulations entre approches créatives trop souvent marginalisées et exigences certificatives propres à un institut universitaire de langue française. La créativité y est envisagée comme positionnement dans et entre les langues. Il s’agit à la fois de la prise de conscience par l’apprenant de langue étrangère de ce qu’il est toujours déjà positionné par sa ou ses langues maternelles. Il s’agit ensuite d’une prise de position, consciente au moins en partie, dans la langue en apprentissage et en retour dans la langue maternelle dont l’illusion référentielle se trouve mise en question par le contact avec l’autre langue. De fait, notre approche accordera une place centrale à l'énonciation singulière comme manifestation de la créativité langagière et facteur d'appropriation. Nous nous pencherons sur des écrits créatifs réalisés par des apprenants de niveau B2-C1 dans le cadre d’un atelier d’écriture créative en marge de la formation de l’institut."

Discussion : Les enjeux actuels de la création entre les langues

Discutantes : Florence March et Rose-Marie Volle

Personnes connectées : 2 Vie privée
Chargement...